Leur arrivée a été reprise par les médias du monde entier, stupéfaits. Un couple d’agents des services de renseignements extérieurs russes et leurs deux enfants ont été accueillis par Vladimir Poutine à Moscou. Ces agents étaient parvenus à mener une vie paisible en Slovénie, où ils s'étaient installés en 2017. Une histoire à dormir debout et qui en dit long sur l’espionnage. En France, nos athlètes remportent des médailles et les Français s’en réjouissent. Toutefois, cette euphorie ne saurait cacher les problèmes du pays. Emmanuel Macron s’est retiré pour une quinzaine de jours dans le sud de la France. Il n’a qu’une idée en tête : trouver un premier ministre qui le satisfasse. Les commerces à Paris –notamment, les cafés-restaurants et, dans une moindre mesure, les hôtels- ont vu leur chiffre d’affaires chuter. Faute de clients. Il n’y a guère que l’art qui puisse apaiser les inquiétudes des citoyens. Ça tombe bien ! L’Hôtel de la Marine, place de la Concorde, reste ouvert au public pendant les Jeux. L’occasion de découvrir des objets de la collection Al Thany.
Le 1er août, dans un aéroport de Moscou, Vladimir Poutine souhaite « buenas noches » à deux jeunes gens qui ne semblent pas bien comprendre ce qui se passe. Ce sont les enfants d’un couple d’espions très efficaces au service de la Russie. Une histoire aussi vraie qu’étonnante.
Ils habitaient au 35, rue Primožičeva, une jolie maison de deux étages aux couleurs pastel à Črnuče, quartier tranquille, très classe moyenne, situé au nord de Ljubljana, la capitale de la Slovénie. Un couple sans histoire, avec deux enfants - Sofia, née en 2013, et Daniel, deux ans plus tard, à Buenos Aires -, se déplaçant en berline Kia Ceed blanche, payant régulièrement ses impôts. Elle, María Rosa Mayer Muños, était à la tête d’une galerie d'art en ligne depuis son arrivée dans ce petit pays d’Europe centrale, en 2017.
L’Elysée a prévenu. Ce seront, cette année, des vacances « en gruyère » que passeront Emmanuel Macron et son épouse, au Fort de Brégançon, près de Bormes-les-Mimosas, dans le sud de la France. Arrivés le 28 juillet dans cette résidence seigneuriale fortifiée au Moyen-Âge qui, depuis 1968, accueille tous les présidents de la République le temps des vacances, les Macron devraient y rester jusqu’au 11 août. Avec des sauts de puces à Paris sur les principaux sites de compétition pour continuer d’encourager les médaillés français. Pas question pour le président omniprésent de se laisser oublier, mê
Le 28 juillet, sous un soleil radieux, la terrasse de la pizzeria Agata, dans le très chic quartier touristique de Saint-Germain-des-Prés, reste vide, rapporte le site Franceinfo du 29 juillet. Bruno, l'un des associés, confie une perte de 40 000 euros par rapport à juillet 2023. Les restrictions de circulation entre le 18 et le 26 juillet ont fortement impacté les commerces.
Les Deux Magots et le Café de Flore, célèbres institutions locales, en ont également ressenti l'impact. Camille, assistant à la direction des Deux Magots, mentionne une baisse de 20 à 25% du chiffre d'affaires durant la p
D’abord, un lieu : l’Hôtel de la Marine, place de la Concorde. Palais emblématique de Paris et témoin de l’histoire de France, il abrite depuis 1765 le « Garde-Meuble royal », responsable du mobilier du roi. Cette institution était chargée de choisir, d'acheter et d'entretenir le mobilier royal, ainsi que de conserver les collections d'armes, d'étoffes, de tentures, de bronzes et de diamants de la Couronne. Symbole de l’Ancien Régime, le garde-meuble fut supprimé lors de la Révolution. Il fut recréé en 1800, sous le nom de « Garde-Meuble des Consuls », devint le « Mobilier impérial », puis « M