L'affaire Richard Ferrand, ou l'adieu aux beaux principes
14 June 2017
Faites ce que je dis mais surtout pas ce que je fais. Tel pourrait être, chers amis, la devise de la nouvelle présidence, tant la première affaire du quinquennat me semble symptomatique, hélas, de nos mauvaises habitudes.Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais Emmanuel Macron avait fait une partie de sa campagne sur le thème : moralité et nouvelles pratiques en politique. Il n'avait alors pas hésité, par exemple, à critiquer François Fillon et ses emplois fictifs. Vous me direz, qui ne l'a pas fait ? Mais manque de chance, maintenant, les ennuis, c'est pour lui ! Ou plutôt pour l'un