Irak : des condamnations tombent pour les étrangères
21 February 2018
Elles sont douze à défiler, en ce 18 février, devant la Cour pénale centrale de Bagdad. Douze femmes, entre 20 et 50 ans, à expliquer pourquoi elles, ces étrangères, se retrouvent en territoire irakien. Pourquoi elles ont enfreint la loi. Elles ont toutes été arrêtées à Mossoul, ex-capitale des djihadistes de l’État islamique, ou à Tal Afar, dans le nord du pays. Elles sont veuves. Leurs maris, djihadistes, sont morts au combat. Elles ont souvent aussi perdu des enfants.