Un an après la prise de pouvoir des Talibans, l'Afghanistan est dans un piteux état. L'économie a dégringolé et les femmes sont asservies. Beaucoup ont décidé de ne pas se laisser faire. Au péril de leur vie...
Les images ne s'effacent pas. Des grappes humaines accrochées aux grillages de l'aéroport de Kaboul, des foules prenant d'assaut des avions stationnés sur le tarmac, des parents donnant littéralement leur bébé à des inconnus, des scènes de panique dans les rues de la capitale... Ces moments ne s'oublient pas. Ils montrent le désespoir d'une population. Ils disent que le retour des Talibans a semé la terreur. C'était le 15 août 2021. À la faveur du départ précipité des troupes américaines et des forces de l'OTAN, les soldats de Dieu sont entrés dans la ville. Sans combattre. Depuis, ils dirigent le pays d'une main de fer, pour le plus grand malheur des Afghans.
C'est un immense soupir de soulagement. Un timide espoir depuis l'invasion russe de l'Ukraine. Le 8 août, le Polarnet est arrivé à bon port. Le cargo qui bat actuellement pavillon turc a pu accoster en Turquie deux jours seulement après avoir quitté le port ukrainien de Tchornomorsk. Ses cales contiennent un précieux trésor. Du maïs cultivé en Ukraine. Douze mille tonnes, très exactement. Une denrée dont un certain nombre de pays commence à manquer cruellement. La bonne nouvelle a été annoncée par Kiev : « Cette première expérience réussie (...) nous permet d'être optimistes quant aux perspect
C'est une petite rue qui porte, depuis l'an 1230, le joli nom de rosiers; une artère un peu étroite située dans le sud du quartier du Marais, au centre de Paris. Ses trois cent trois mètres de long sont de part et d'autre du trottoir bordés de magasins : une boulangerie-pâtisserie de spécialités ashkénazes, des boutiques qui vendent des falafels et des bricks d'Algérie, des produits alimentaires casher made in Israël, deux synagogues... Nous sommes au cœur de la communauté ashkénaze et yiddishophone, la plus vieille de la capitale.
Longtemps, la rue des Rosiers a été un lieu de promenade le di
Son dernier dessin a été publié il y a peu dans Paris Match. On y voit un monsieur d'un certain âge en train de faire le portrait de son épouse. Ils sont dans une clairière, elle est allongée assez loin de lui. Le peintre du dimanche semble absorbé par son pinceau, tellement d'ailleurs que la dame lui dit : « Pense à ne pas m'oublier ». Ce seront sûrement les derniers mots que le monde retiendra de Jean-Jacques Sempé, dessinateur mondialement reconnu, qui est mort le 11 août dernier à l'âge de 89 ans. À six jours de son 90ème anniversaire.
Depuis, les hommages des politiques, dont celui d'Emman