On commence tout de suite : les sept décennies de règne d’Elizabeth II ont profondément marqué les relations entre la France et l’Angleterre. Dans l’Hexagone, on se souvient ces jours-ci des liens privilégiés qui existaient entre la souveraine et les Français.
« Nous ne roulons pas du même côté de la route, mais nous allons dans la même direction. » La phrase est d’Elizabeth II. Prononcée en 1972, à l’occasion d’une visite d’État à Paris, elle a largement été citée ces jours-ci dans les médias français, pour rappeler le lien qui unissait la souveraine britannique et la France. Une relation particulière, qui est née avant même le couronnement de la reine.
Ce devait être le point d’orgue d’un jour de fête. Le 14 juillet 2016, des milliers de personnes s’étaient réunies sur la Promenade des Anglais, la célèbre avenue maritime de Nice, la capitale de la Côte d’Azur. C’était un jeudi. Comme chaque année, le lieu était envahi par les touristes et les Niçois pour voir le feu d’artifice tiré sur la baie des Anges pour la fête nationale française. Peu après 22h30, la soirée a viré au cauchemar. Le feu d’artifice vient de se terminer, des milliers de personnes sont encore présentes sur le bord de la mer. Un camion de 19 tonnes envahit la rue. Il fonce s
La passation de pouvoir a eu lieu mardi 6 septembre, au petit matin. Devant quelques centaines de personnes, Boris Johnson a donné son dernier discours devant le 10, Downing Street, la résidence du Premier ministre britannique. « C’est fini, les amis », a lâché le leader conservateur, contraint à la démission en juillet dernier. Il est ensuite parti à Balmoral, en Écosse, pour annoncer officiellement sa démission à la reine Elizabeth. La résidence d’été de la souveraine a été visitée dans la foulée par la remplaçante de Johnson. Liz Truss a été officiellement nommée mardi en début d’après-midi
Les citoyens chiliens ont dit non. Près de 62% des électeurs ont rejeté, dimanche 4 septembre, une proposition de nouvelle constitution. Le taux de participation, alors que le vote était obligatoire, a atteint près de 80%. C'est donc une large majorité de la population chilienne qui a choisi de tourner le dos au projet. Celui-ci était pourtant censé remplacer la constitution en vigueur depuis les années de la dictature d’Augusto Pinochet, entre 1973 et 1990. Cette dernière est loin de faire l’unanimité : elle est considérée comme ultralibérale, et 8 Chiliens sur dix avaient donné leur accord,
C'est le genre d'affaire qui inquiète, à quelques semaines du début de la Coupe du Monde de football. Le type de polémique qui peut détériorer rapidement l'ambiance d'un groupe, un élément très important, on le sait, dans une compétition qui dure plusieurs semaines. Bref, le "Pogbagate", du nom du milieu de terrain de la Juventus de Turin et des Bleus Paul Pogba, est une sacrée épine dans le pied du sélectionneur Didier Deschamps et de l'équipe de France de football.
Si vous n'avez pas suivi le scandale qui passionne la France depuis maintenant plusieurs semaines, je vous fais un petit résumé.