Tout de suite, on s’intéresse au voyage du chef de l'État français dans le sud de la France. Macron s’est rendu cette semaine à Marseille, avec plein de promesses pour la ville méditerranéenne, qui n’en finit plus de se battre contre la pauvreté et la violence…
C’est un secret de polichinelle : Emmanuel Macron est fan de l’Olympique de Marseille, le club de football de la ville méditerranéenne. Depuis son enfance, le nordiste, originaire d’Amiens, vibre pour les exploits des Marseillais. En 2017, sa grosse colère après une défaite de l’OM contre les rivaux de l’AS Monaco, filmée à la sortie d’un meeting, avait fait le tour des réseaux sociaux. La même année, des enfants d’une école primaire lui avaient offert un maillot marseillais, qu’il avait fièrement porté. Quelques mois plus tard, en vacances dans le sud, il était même allé jusqu’à disputer une
La tragédie qui a eu lieu dans la nuit du 13 au 14 juin au large des côtes grecques est venue rappeler, une nouvelle fois, une évidence : chaque jour, des milliers de personnes cherchent à fuir la misère, la guerre et la violence. Cette fois, ils venaient en majorité de Syrie et du Pakistan. Des hommes, des femmes et des enfants qui ont rallié la Libye, avant de tenter la traversée jusqu’en Europe dans une embarcation de fortune. Leur espoir d’une vie meilleure s’est noyé dans la Méditerranée. Comme trop souvent.
Malgré les obstacles, malgré les murs, malgré les politiques restrictives dans de
C’est un ballet diplomatique auquel nous n’étions plus habitués. En l’espace de quelques jours, les principaux responsables politiques chinois ont multiplié les rencontres. En début de semaine dernière, le président Xi Jinping a reçu Antony Blinken, le secrétaire d’État américain. Dans le même temps, le Premier ministre chinois se rendait en Europe : Li Qiang a réalisé une visite officielle en Allemagne, avant de se rendre à Paris pour participer à un sommet sur la finance mondiale.
Un voyage de cinq jours en tout, qui confirme ce que la visite de Macron à Pékin en avril dernier et les rencont
« Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoire dignement. » Ces phrases sont celles de Missak Manouchian. Elles ont été griffonnées dans une lettre à sa femme, le 21 février 1944. Ce seront ses derniers mots. Manouchian, âgé alors de 37 ans, sera fusillé quelques heures plus tard, en début d’après-midi, sur le Mont Valérien, une colline située à l’ouest de Paris. Leader d’un groupe de résistants contre l’occupation nazie durant la Seconde g
Quand deux grands lieux de l’art s’associent, cela fait forcément des étincelles. L’exposition Naples à Paris, visible depuis le 7 juin dernier dans le musée parisien du Louvre, en est la preuve. Elle est l’épilogue d’une histoire qui commence sur les bords de la mer Méditerranée, à l’ombre du Vésuve. Là-bas, aux portes de Naples, le musée du Capodimonte abrite depuis longtemps des œuvres des grands maîtres de la peinture italienne. Des artistes comme Titien, Raphaël, Caravage, Michel-Ange, Botticelli ou encore Bellini sont présents dans les salles du palais, ce qui en fait l’un des musées les