Nous commençons avec un coup d’œil sur l’intervention militaire française en Afrique de l’ouest, qui vient de subir un sérieux revers.
Neuf ans après la décision de son prédécesseur, François Hollande, d’intervenir militairement au Mali à la demande des autorités de ce pays, menacé par une offensive djihadiste, Emmanuel Macron vient de sonner le repli.
La fin de l’opération Barkhane est l’aboutissement logique de la détérioration des relations entre la France et la junte militaire malienne. Cet échec jette dans l’incertitude la campagne antiterroriste menée par la France et ses alliés occidentaux dans une région où l’instabilité ne cesse d’augmenter. Les groupes djihadistes continuent en effet d’étendre leur action dans tout le pays et au-delà. En même temps, la présence militaire française était devenue de plus en plus impopulaire.
La France et son âme meurtrie sont le personnage invisible de chacun des romans de Sabri Louatah, qui évoque son « amour sensuel, charnel, viscéral » pour la langue française et son fort attachement à sa ville d’origine, Saint-Étienne, dans le sud-est. Il suit de près la campagne des prochaines élections présidentielles.
Mais Sabri Louatah fait cela depuis Philadelphie, devenue sa ville d’adoption et celle de sa femme française, depuis les attentats de 2015 en France par des extrémistes islamistes, qui ont profondément traumatisé le pays. Le cas de cet écrivain de 38 ans, petit-fils d’immigrés
Le « One Ocean Summit », qui s’est tenu à Brest du 9 au 11 février, n’a pas sonné la mobilisation générale face à l’urgence des menaces qui pèsent sur le plus vaste écosystème de la planète. Il n’a pas non plus été le flop pronostiqué par certains, estime le journal Le Monde.
La quarantaine de chefs d’État ou de gouvernement qui y ont participé, soit en personne, soit virtuellement, ont presque tous tenu des propos de bonne volonté. Mais ce sommet, initié par Emmanuel Macron dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, comptait des absents notoires : le Royaume-Uni et la Russ
Une courte séquence vidéo datant de l’année dernière a refait surface en janvier sur l’internet et est rapidement devenue virale. On y voit la journaliste Salomé Saqué, 26 ans, s’alarmer, avec une certaine verve, des conséquences du réchauffement climatique pour sa génération. Immédiatement, ses voisins de plateau – deux journalistes âgés de 45 et 64 ans, et qu’il vaut mieux ne pas nommer – répondent avec des boutades et continuent de ricaner sans parvenir à l’interrompre, pour finalement lui reprocher sur un ton badin de « casser l’ambiance » avec ses propos.
Si cet extrait est réapparu, c’est
Les Belges vont pouvoir choisir de travailler quatre jours par semaine au lieu de cinq, sans perte de salaire. Annoncée le 15 février, cette mesure fait partie d’un ensemble de réformes des lois du travail passées par la coalition au pouvoir, en réponse aux nouvelles conditions causées sur le marché du travail par la pandémie de Covid-19.
En théorie, l’objectif est de permettre une meilleure conciliation de la vie professionnelle et de la vie privée. Un travailleur qui le souhaite aura la possibilité d’effectuer son temps de travail hebdomadaire sur quatre jours au lieu de cinq. Cela lui fera d