Tout de suite, on revient sur ce fatidique 7 janvier 2015. Ce jour-là, deux terroristes islamistes ont assassiné douze personnes, dont huit membres de la rédaction de Charlie Hebdo. Une décennie plus tard, l’hebdomadaire satirique est devenu le symbole de la liberté d’expression.
Le 7 janvier 2015 est une date qui fait désormais partie de l’Histoire de France. Un épisode triste, noir, violent, qui secoue encore, dix ans plus tard, les ciments de la société française. C’était un mercredi, et comme chaque semaine, les membres du journal satirique Charlie Hebdo se retrouvaient dans la matinée pour une réunion de rédaction. La suite est connue. Deux terroristes islamistes, membres revendiqués d’Al-Qaïda, font irruption dans les locaux parisiens de l’hebdomadaire. Ils tirent sur les journalistes et dessinateurs. Ils assassinent douze personnes. Parmi celles-ci, Cabu, Wolins
La trêve de Noël a été courte pour l’ancien président français Nicolas Sarkozy. Condamné le 18 décembre dernier à une peine de trois ans de prison dans une affaire d’écoutes illégales, l’ancien chef de l’État est déjà de retour devant la justice. Le procès pour le financement illégal de sa campagne électorale de 2007 s’est ouvert ce lundi 6 janvier. L’ancien chef de l’État est soupçonné d’avoir reçu de l’argent du dictateur libyen Mouammar Kadhafi pour payer les frais de sa campagne victorieuse. Sur le banc des accusés, on retrouve une partie de la garde rapprochée de Sarkozy à cette époque-là
Elon Musk aime se mêler des affaires du monde. Bien avant son implication dans la campagne -et la réélection- de Donald Trump aux États-Unis, le multimilliardaire propriétaire de Tesla et X n’hésitait jamais à s’afficher aux côtés des responsables politiques. Ces dernières années, on l’a vu s’entretenir avec Emmanuel Macron, l’ancien premier ministre britannique Rishi Sunak et le président chinois Xi Jinping. En 2022, il avait rencontré à Berlin le chancelier Olaf Scholz, à l’occasion de l’inauguration d’un centre de production de Tesla en Allemagne.
À l’époque, les deux hommes posaient tout s
Dans l’atmosphère très feutrée de la capitale européenne, il y a rarement de grands cris de joie. Pourtant, pas besoin d’être un expert en géopolitique et diplomatie pour savoir que l’arrivée de la Pologne à la tête de l’Union européenne, le 1er janvier, a été accueillie avec soulagement. La présidence tournante de l’UE ne dure que six mois, mais elle a une dimension politique importante. C’est elle qui montre la voie aux 27 États membres, qui établit les priorités du club communautaire. Dans la seconde moitié de 2024, le rôle était occupé par la Hongrie de Viktor Orban. Le leader eurosceptiqu
C’est un monument à part, planté dans l’ouest de la capitale française. Avec son toit gris de zinc, sa coupole de cuivre verdie par le passage du temps et ses immenses statues dorées, le Palais Garnier en impose. Cela dure maintenant depuis un siècle et demi. Inauguré le 5 janvier 1875, il aurait pourtant très bien pu ne jamais voir le jour. Paris avait déjà un opéra, situé dans la rue Le Peletier, non loin de la salle actuelle.
Mais un coup du sort va tout changer. Plus exactement, un attentat raté, un soir de janvier 1858 : une bombe explose au passage du cortège de Napoléon III.
L’Empereur