En France, c'est la semaine de tous les dangers avec la réforme des retraites qui doit être représentée au Parlement. Une nouvelle grève est prévue le 15 mars. Le conflit n'est pas prêt de s'apaiser.
À partir de quel moment un pays est-il à l'arrêt ? Lorsque les poubelles envahissent les trottoirs des rues au point que les piétons doivent parfois marcher sur la chaussée pour circuler ? Il est vrai que les éboueurs ne travaillent plus depuis une semaine et, vendredi 10 mars, la municipalité estimait à 4 500 tonnes les volumes d'ordures non ramassées. Et quand bien même le seraient-elles, les entrées des incinérateurs d'ordures, en région parisienne, sont bloquées par des manifestants qui campent jour et nuit devant les portes.
Le ciel est gris et plombé à Paris, en ce vendredi 10 mars. Ici et là, quelques gouttes mouillent les uniformes rutilants des dragons postés sur les marches de l'Élysée. Ils sont huit, quatre de chaque côté, à attendre, stoïques. Au bout de quelques minutes, Emmanuel Macron fait son apparition sur le perron du palais présidentiel. Lui aussi doit patienter. Son invité tarde à arriver. Puis, une berline noire fait son apparition dans la cour du Palais, et Rishi Sunak, tout sourire, en descend. Le Français et le Britannique vont à la rencontre l'un de l'autre, les bras grands ouverts, comme pour
Georges Braque, Juan Miro, Fernand Léger, Vassily Kandinsky, Mondrian, Le Corbusier, Marcel Duchamp etc., ils y figurent tous. Chacun de ces très grands artistes du XXème siècle s'est vu, à plusieurs reprises, consacrer plusieurs pages dans Les Cahiers d'Art, une célèbre revue avant-gardiste fondée en 1926, à Paris, par le critique d'art et éditeur Christian Zervos. Il avait pour but de faire la promotion de l'art moderne dans la France de l’entre-deux-guerres, et de ses créateurs les plus emblématiques. Or, il en est un dont le magazine a particulièrement suivi le parcours, un Français remis
C'est fini. Du moins pour le moment . Le gouvernement géorgien a fini par retirer sa loi sur les « agents étrangers », le 9 mars. Le Premier ministre, Irakli Garibachvili, a cédé aux fortes critiques occidentales et, surtout, il a reculé face à la rue. Les 7 et 8 mars, des milliers de personnes s'étaient, en effet, rassemblées à Tbilissi, la capitale de la Géorgie, et dans d'autres grandes villes de ce petit pays du Sud Caucase, contre le projet de loi, qu’elles considèrent comme une virée autoritaire. La police les a gazées, arrosées aux canons à eau et emprisonnées. Mais les manifestants n'o
On lui a tout reproché. Son âge - 74 ans -, ce qui lui vaut d'ailleurs le sobriquet « le vieux » dans son parti. Sa personnalité - terne et sans charisme -, ce qui explique qu'il a mis du temps à s'imposer. Son look un peu vieillot d'ancien comptable et d'ex-directeur de la Sécurité sociale, qui fait plus penser - nous dit le correspondant du Monde à Istanbul - à « une sorte d’oncle lointain qu’on aimerait avoir à déjeuner les dimanches en famille de temps en temps » qu'à un challenger crédible à Recep Tayyip Erdogan. Son obédience, enfin, puisqu'il est issu de la minorité alévie au sein d'une